Mairie de HESSE. 3 La Cour, 57400 HESSE - 03.87.23.82.33

 

 

 

Historique rapide

 

       

        La fondation de l'abbaye bénédictine de Hesse par la famille comtale de Dabo remonte à la deuxième partie du Xe siècle. Lorsque l'abbaye fut fondée, le village de Hesse existait déjà. Il est d'ailleurs plus que probable que Hesse ait été un lieu habité par les Celtes.

         Quelle est l'origine du toponyme « Hesse » ? Ce mot désignerait un endroit où poussent des hêtres. Le mot « hêtre » dérive du mot « heester », prononcé « hèse », mot d'origine germanique et utilisé par les Francs. Le mot « Hesse » désigne un certain nombre de lieux en Europe (France, Belgique, Luxembourg, Allemagne) ; chacun de ces lieux contenant « hesse » ont tous pour particularité géographique, voire botanique ou horticole, d'être des endroits où pousse essentiellement un même type d'arbre : le hêtre.

         Le lieu qui fut désigné sous le nom de Hesse était un lieu habité à l'époque gallo-romaine. Sous l'occupation romaine, la campagne gauloise était couverte d'un réseau cadastré de petits domaines, nommés « villae », d'une superficie d'environ 50 hectares. La région de Sarrebourg semble avoir eu, à cette époque, une forte concentration d'exploitations agricoles, l'une des plus importantes de la Gaule. L'historien sarrebourgeois Marcel Lutz assure qu'il y a eu au moins deux villae sur le ban hessois, témoins ces nombreux moellons et ces fragments de tuiles à rebords, ces carrelages et tuyaux en terre cuite, ainsi que ces tessons de céramique trouvés sur le terrain.

 

 

Découvertes archéologiques dans la région de Sarrebourg
Chaque point rouge serait une villa gallo-romaine.

 

 

         Il semblerait que le nom du lieu appelé aujourd'hui « Hesse » apparaisse pour la première fois dans un manuscrit contenu dans le cartulaire de l'abbaye de Wissembourg, située en proche Alsace.

         Plusieurs chartes citées dans ce registre attestent de dons de terres et d'hommes faits dès l'an 661 et jusqu'en 864. Les lieux aujourd'hui nommés Barville, Biberkirch, Guntzviller, Héming, Imling, Lettenbach, Lohr, Lorquin, Mittelbronn, Nitting, Sarrebourg, et d'autres encore - tous des terroirs situés dans le pagus Saroinse, et faisant alors déjà partie du temporel des évêques de Metz - sont cités dans les actes du Codex traditionum wissembourgeois.

         Rajoutons un autre lieu, situé in villa launarigo, la villa de Lorquin : un lieu nommé Cassus ou Chassus en l'an 699, toponyme désignant une toute petite contrée, dite la villa que dicitur essem dans une charte rédigée sous le règne de Charlemagne, vers l'an 800 - anno XXXIII. karolo rege francorum. Le lieu dit Chassus en 699 devint Essem, puis Essi ou Hessis dans des actes rédigés ultérieurement, en 846 et 847. Ce toponyme se fixa sous la forme HESSE, et désigna un lieu aujourd'hui situé en Lorraine, dans le département de la Moselle, au Pays de Sarrebourg.

         Un manuscrit daté du « 8 des calendes de mars de la 6e année du règne de l'empereur Lothaire » (24 avril 846) certifie qu'un dénommé « Landfrit, par la grâce de dieu évêque », fait don à l'abbaye de Wissembourg « pour le salut de son âme, de tout ce qu'il possède dans les marches dites de Beronivilla (Barville) et de Essi (Hesse), tant terres que champs, prés, forêts, cases, chaumières, pâturages et cours d'eau, ainsi que les serfs nommés Faumoolt, Gebült, Gozbolt, Blidilt. » Il est avéré qu'un certain Landfrit était dans ces temps chorévêque de Metz, c'est à dire vicaire chargé de remplir les fonctions épiscopales dans les campagnes.

         Cette donation de terres et d'hommes est la preuve que l'évêché de Metz possédait au IXe siècle des biens temporels à Hesse, ainsi d'ailleurs que dans tout le Saargau - la région de Sarrebourg - possessions foncières représentant le tiers au moins de la terre qui y était cultivée. L'évêque de Metz était le seul maître de ses terres et des hommes qui y vivaient, grâce au privilège d'immunité, confirmé par Charlemagne. L'Eglise de Metz, très richement dotée par les souverains et par l'aristocratie, tant mérovingiens que carolingiens, confia l'administration civile et militaire de ses possessions territoriales à des comtes. Lorsque la place forte Castrum Saraburgum (Sarrebourg) devint ville épiscopale, en 931, elle fut donnée en tant que fief aux puissants comtes du Nordgau (Basse-Alsace), de même que la ville de Sarralbe et quelques villages, dont Hesse. Quelques décennies plus tard les comtes du Nordgau, seigneurs d'Eguisheim, fondèrent en ce lieu une abbaye bénédictine.

 

        Ce fut Eberhard IV (né vers 925-décédé en 972), comte du Nordgau dès 940, qui décida de la construction d'un monastère à Hesse, œuvre que poursuivirent ses descendants : son fils Hugues III Raucus ou l'Enroué (né vers 951-décédé en 986) et son épouse Belinda d'Ortenburg ; son petit-fils Hugues IV (né vers 975-décédé en 1048), comte d'Eguisheim, et son épouse Heilwide ou Helwige, fille unique de Louis de Dabo (Dagsburg en allemand), les fondateurs de la branche d'Eguisheim-Dabo. De cette union naquirent de nombreux enfants. Le second fils de Hugues IV et Helwige, Brunon, né le 21 juin 1002, devint pape en 1048 sous le nom de Léon IX. Les faits sont ainsi contés dans la Chronique de Richer, moine qui vécut au XIIIe siècle à l'abbaye vosgienne de Senones : « En l'an mil et deux fut né Bruno, qui fut evesque de Toul, puis après esleu pape de Rome. Ses predecesseurs fonderent un monastere de femmes religieuses, nommé Hesse, auprès de Sarbourg. »

        En fondant l'abbaye de Hesse, les comtes du Nordgau se comportèrent comme de nombreux autres seigneurs féodaux. Afin de se concilier la clémence divine, ils offraient une partie de leur patrimoine aux institutions religieuses. Ils y établissaient certains de leurs fils ou filles et y ensevelissaient leurs morts. L'une des abbesses de Hesse (peut-être la première?) fut Serberge ou Gerberge, nièce du pape Léon IX, fille de son frère Hugues V d'Eguisheim-Dabo et de son épouse Mathilde d'Eename.

          Les deux dalles funéraires que l'on voit aujourd'hui encore dans le fond de l'église de Hesse ont très certainement recouvert les sarcophages de deux membres de la famille comtale qui fonda l'abbaye. L'un des gisants représente vraisemblablement la comtesse Mathilde, désignée en tant que fondatrice du monastère, puisque c'est très certainement elle qui a achevé au XIe siècle la fondation commencée un siècle plus tôt par l'arrière-grand-père de son époux. L'autre dalle est ornée d'un écu triangulaire avec le lion héraldique de la maison d'Eguisheim-Dabo. Cette pierre a probablement recouvert le tombeau du comte Hugues V, frère de Léon IX, à moins que ce ne soit celui de son fils Henri.

        Devenu pape, Brunon d'Eguisheim-Dabo rendit visite en l'an 1050 à sa nièce Serberge, abbesse de Hesse. Léon IX consacra le maître-autel de l'église abbatiale, afin, écrivit-il dans la bulle papale accordée au monastère, « que tous connaissent quel honneur Nous avons constamment désiré en ce lieu. »

        Le voyage du souverain pontife dans sa terre natale fut ainsi relaté dans un livre écrit par le Père Brucker à la fin du XIXe siècle :

« Itinéraire des voyages du pape au-delà des Alpes

De Langres, le pape se détourna vers les sources de la Moselle et alla visiter Remiremont. Puis Toul, pour de religieux hommages à Saint Gérard, les 20, 21 et 22 octobre 1050. Dans le courant du mois de novembre, l'auguste voyageur se dirigea vers l'Alsace. En passant, il revit sans aucun doute le château maternel encore désolé par la mort de son frère Hugues, dont la veuve Mathilde faisait probablement sa résidence. La dépouille mortelle de Hugues reposait à quelques lieues de là, dans l'abbaye de Hesse, gouvernée par sa fille Gerberge. Cette maison, commencée par le comte Louis de Dabo, avait été achevée par les parents de notre Saint. La comtesse Mathilde et son fils Henri prièrent le pape d'y laisser un souvenir de son passage. Il y consacra l'autel et adressa à l'abbesse une bulle. »

 

        Au XIIIe siècle, l'abbaye connut de graves difficultés financières, dues probablement à une mauvaise gestion, mais aussi aux guerres régionales que se livraient constamment les seigneurs féodaux. Un exemple de conflit qui mit la région à feu et à sang est la guerre pour la succession de la comtesse Gertrude de Dabo, qui mourut en 1225 sans héritier direct. Cette discorde ruina le comté de Dabo dont Hesse faisait alors partie. Les prétendants à ce riche héritage étaient nombreux, parmi lesquels les évêques de Metz et de Strasbourg qui prétendaient récupérer les fiefs relevant de leurs évêchés respectifs, et surtout Simon de Linange ( en allemand : Leiningen), le veuf de Gertrude, qui affirmait qu'un testament avait été fait en sa faveur. A la mort de Simon en 1234, son frère Frédéric III de Linange prit la suite de cette guerre épiscopale. Il finit par traiter avec les évêques de Metz et de Strasbourg et accepta de se reconnaître leur vassal. A partir de 1236, les comtes de Linange, de la puissante famille allemande des Deux-Ponts (Zweibrücken) et Sarrebrück, devinrent seigneurs de Hesse et d'autres lieux, et prirent le nom de Linange-Dabo (Leinigen-Dagsburg).

 

        Selon un manuscrit daté de 1442, il restait alors à Hesse, dans des bâtiments en ruine, six religieuses et leur Abbesse Brigide. Les bénédictines remirent l'abbaye aux comtes de Linange-Dabo et trouvèrent asile dans divers couvents de la région.

         L'abbaye de Hesse fut alors unie au chapitre St Etienne de Sarrebourg, la ville voisine. Mais les chanoines renoncèrent à cette possession au bout d'une vingtaine d'années, les charges du monastère étant probablement trop lourdes. Après 18 années de quasi abandon, l'abbaye devint prieuré. Des Augustiniens de la congrégation de Windesheim s'y installèrent en 1483. Il semblerait que le couvent ait vécu dans une extrême pauvreté, puisque les comtes de Linange-Dabo, les évêques de Metz et de Strasbourg, ainsi que les ducs de Lorraine, firent diverses donations à l'institution religieuse.

        Le prieuré fut mis à sac lors de la Guerre des Rustauds en 1525.

         En 1550, le comte Enzelshave de Linange-Dabo remit l'administration du prieuré de Hesse « de sa pleine et entière volonté à la réquisition du prince Charles Cardinal de Lorraine évêque de Metz, au Sieur Jean Rugier, garde des sceaux dudit évêché ». A la mort de Jean Rugier, en 1566, Nicolas Perini lui succéda en tant que prieur de Hesse. Son frère Jean Perini était alors Abbé de l'abbaye cistercienne de Haute-Seille, située non loin de là, à une trentaine de de kilomètres près de Cirey-sur-Vezouze (en Meurthe et Moselle), maison religieuse très confortablement possessionnée dans la région.

        La « Terre et Seigneurie de Hesse » faisait partie du temporel de l'évêque de Metz et était située dans la province des Trois-Evêchés. Ce territoire était formé des possessions des évêques de Metz, Toul et Verdun, et appartenait au Saint Empire romain germanique. Les Trois-Evêchés devinrent à cette époque les premières enclaves françaises en terre lorraine, puisqu'ils furent placés sous tutelle française à la suite du « voyage d'Allemagne » du roi de France Henri II. Les temporels des évêchés de Metz, Toul et Verdun furent annexés de facto par la France en 1552 (Traité de Chambord). Ils furent annexés de jure plus d'un siècle plus tard, en 1648, par le Traité de Munster, l'un des traités qui mirent fin à la guerre de Trente Ans.

        Sous l'administration française, les Trois-Evêchés relevaient d'un statut particulier et n'étaient inclus dans aucun bailliage ou sénéchaussée royale. Les habitants portaient la dénomination générale d' « Evêchois ». En conséquence de quoi … dès 1552, et officiellement en 1648, les Hessois purent se targuer d'être Evêchois, ce qu'ils étaient d'ailleurs depuis la nuit des temps, mais aussi Français, sujets du roi de France, alors que les habitants des localités voisines étaient Lorrains, sujets du duc de Lorraine, et par conséquent sujets de l'Empereur germanique.

 

         Pendant les guerres de religion qui se succédèrent de 1562 à 1598 en France, le monastère de Hesse fut évidemment ravagé par la soldatesque qui traversait incessamment la région sarrebourgeoise. Le prieur Nicolas Perini informa le pape de l'état désastreux dans lequel se trouvait le couvent dont il avait la charge, et le supplia de l'unir à Haute-Seille. En 1576, le pape Grégoire XIII autorisa l'union du prieuré de Hesse à l'abbaye de Haute-Seille, dont les abbés successifs devinrent petit à petit les seigneurs des terres et des villageois, ayant tous les droits seigneuriaux, dont ceux de justice, petite, moyenne et grande.

 

        Le duché de Lorraine et la province des Trois-Evêchés furent dévastés par les différentes armées qui s'affrontèrent pendant la Guerre de Trente Ans (1618-1648). Hesse n'échappa pas au désastre : un manuscrit de 1638 relève « six habitans à Hesse, entierement ruinés et appauvris ».

         Les Traités de Westphalie, signés le 24 octobre 1648, mirent fin à la guerre qui enflamma l'Europe pendant trente années. Le droit de seigneurie du roi de France, qui était alors Louis XIV, fut confirmé sur la province des Trois-Evêchés, laquelle province devint officiellement terre française. Les droits seigneuriaux furent cependant laissés aux évêques dans l'étendue de leur temporel. L'Abbé de Haute-Seille devint vassal du roi de France, lui rendant « foy et hommage » et lui fournissant ses « aveu et dénombrement ». Du point de vue administratif, le village de Hesse dépendait du bailliage de l'évêché de Metz à Vic.



        La communauté villageoise de Hesse ne vécut pas toujours en parfaite harmonie avec son seigneur, l'Abbé de Haute-Seille, loin s'en faut, ni d'ailleurs avec les divers prieurs qui desservirent successivement l'église. De nombreux manuscrits déposés aux Archives de la Meurthe à Nancy font état de diverses plaintes et procès. Vers le milieu du XVIIIe siècle, à Hesse comme dans toutes les régions françaises, les gens du peuple commençaient à acquérir une conscience chaque jour plus nette de leurs misères et de leur infériorité. Le pays s'était appauvri. Les impôts augmentaient. L'opinion publique, moins respectueuse que jadis des institutions politiques ou religieuses, était désireuse de réformes.

 

       Les états généraux furent convoqués par la Lettre du roi datée du 24 janvier 1789. Louis XVI y déclarait : « Nous avons besoin du concours de nos fidèles sujets pour nous aider à surmonter toutes les difficultés où nous nous trouvons, relativement à l'état de nos finances, et pour établir, suivant nos vœux, un ordre constant et invariable dans toutes les parties du gouvernement qui intéressent le bonheur de nos sujets et la prospérité de notre royaume ».

       En exécution de la lettre du Roi pour la convocation des Etats Généraux à Versailles le 27 avril 1789, les divers règlements furent notifiés aux officiers municipaux des villes et communautés de campagne, les sommant « qu'ils eussent à se conformer auxdites lettres, règlements et ordonnances, en les faisant publier le dimanche suivant au prône de la messe de paroisse par le curé, en les faisant pareillement lire, publier et afficher à l'issue de la messe au devant de la porte principale de l'église, et en convoquant au son de la cloche en la manière accoutumée l'assemblée des habitants nés français, âgés de 25 ans, domiciliés et compris aux rôles des impositions, pour par lesdits habitants et communautés tenir leur assemblée, dresser leur cahier de doléances, plaintes et remontrances, et nommer leurs députés dans le nombre et la manière prescrite par l'article 31 du règlement du 24 janvier, à savoir : 2 députés à raison de 200 feux et au-dessous (…) »

 

       Le 15 mars 1789, la communauté de Hesse, composée de 103 feux, se réunit pour établir son cahier de doléances et pour élire les deux députés qui la représenteraient à l'assemblée des trois ordres du bailliage, le 23 mars, à Vic. Nicolas Mangin et Sébastien Marsal furent élus députés.

 

        La nouvelle de la prise de la Bastille qui survint le 14 juillet à Paris fut accueillie avec une joie inexprimable par le peuple de France. Dans les campagnes se développa la Grande Peur, vague de révoltes des paysans contre l'ordre féodal. Ils s'en prenaient aux seigneurs, à leurs biens et à leurs archives, lesquelles servaient à établir et à justifier les droits seigneuriaux. Les habitants de Hesse se distinguèrent en partant à l'assaut de l'abbaye de Haute-Seille le 1er août 1789, réclamant avec force cris et menaces les papiers détenus dans les coffres du couvent. Les liasses tombées entre leurs mains furent brûlées, prélude à l'abolition des droits féodaux proclamée par les députés de l'Assemblée constituante dans la nuit du 4 août.

 

        Le 2 novembre 1789, les biens du clergé furent mis à la disposition de l'État comme biens nationaux. C'était la fin du prieuré de Hesse. Les biens meubles et immeubles en dépendant furent vendus comme biens nationaux dès 1791. Les bâtiments conventuels, du moins ce qu'il en subsistait alors, furent acquis le 13 août 1796 par un dénommé Seingry.

 

        Par décret des 15 janvier, 16 et 26 février 1790, l'Assemblée nationale ordonna la division de la France en 83 départements et leur subdivisions en districts et cantons. La commune de Hesse fit partie du département de la Meurthe. Cette première division subit par la suite plusieurs modifications. La loi du 28 pluviôse an VIII et l'arrêté des consuls du 17 ventôse partagèrent le département de la Meurthe en 5 arrondissements communaux ou sous-préfectures et en 71 cantons.

        L'arrondissement de Sarrebourg comptait 5 cantons, soit 116 communes. Le canton de Sarrebourg se composait de 25 communes, dont celle de Hesse.

 

 

BIBLIOGRAPHIE
 

- « Hesse en Lorraine » / Conférence du 9 juin 1997 par M-Odile Zdravic et Paul Karst / SHAL section de Sarrebourg
- « Dictionnaire topographique de département de la Meurthe » / Henri Lepage
- « Les cahiers de doléances du bailliage de Vic » / Lesprand

 

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